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Vidéo-danse, un art du corps et de l'image

Tome 1, Quels regards pour quelles expériences ?

de Jessy Ducreux

Type
Etudes
Sujet
GenreComédie musicale
Mots Clés
danse, mouvement
Année d'édition
2025 (15 décembre 2025) (à paraître)
Editeur
L'échappée belle
Collection
(hors collection)
Langue
français
Taille d'un livre de poche 11x18cmTaille relative de ce livreTaille d'un grand livre (29x22cm)
Taille du livre
Format
Relié • 210 pages • 20 €
15 x 20 cm
ISBN
978-2-491991-37-1
Appréciation
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Description de l'ouvrage :
Vidéo-danse, un art du corps et de l’image. Tome 1 : Quels regards pour quelles expériences ? est son premier essai. La danse et le cinéma s’engagent dans une rencontre artistique dès les premiers instants du cinématographe. Entre eux deux, la magie opère. Ils renouent alors avec une vision poétique du monde. En effet, le cinéma montre la danse sous un reflet différent de celui du miroir qui prévaut dans l’académisme de la danse classique. Sous cette nouvelle luminosité provenant du dispositif cinématographique, le corps se libère ainsi d’un devoir être à la lettre, conformément à une culture de l’écrit. Or, ce changement en libérant le corps met au jour des images d’un genre inédit, gagnées par une représentation de la relativité de l’espace-temps. Ainsi le corps en cessant de se faire l’instrument de l’âme engage la danse sur le terrain d’expériences nouvelles, allant ainsi démultiplier son mouvement au travers de son esthétisation. La plasticité du médium vidéo exacerbe cette expérimentation aux abords d’une abstraction par-delà l’espace scénique et les lois de la gravité. La vidéo-danse est un genre hybride qui naît avec l’art postmoderne.

À propos de l'auteur :
Jessy Ducreux, docteure en arts, diplômée d’un master en philosophie et en anthropologie, pratique la vidéo. Or, à la demande de Leslie Henfrey-Smith danseuse-chorégraphe, j’expérimente avec elle la captation d’un spectacle de danse sans aucun parti pris esthétique autre que l’enregistrement le plus objectif possible, du point de vue de l’art vidéo.Le fait de n’exprimer aucune intention dans cette relation à mon objet filmique, et, le fait d’exécuter un choix de cadrage adapté à une visibilité optimale du spectateur, dans une salle de spectacle, rend, à mon sens, l’outil vidéo inconsistant quant à la subjectivité du réalisateur ; le filmeur étant alors relégué au statut de témoin qui se suffit à regarder sans s’impliquer davantage que cela dans le résultat final. Ce constat a donc été l’élément déclencheur de mon projet de recherche, initialement intitulé La danse contemporaine à l’épreuve du cinéma et de la vidéo : quels regards pour quelles expériences ?, dont la thèse a été soutenue à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, en 2017. De prime abord, la question principale de cette union vidéo-danse portait sur le vocabulaire de la danse à l’exemple des verbes de danse : sauter, tressauter, bondir, porter, étirer, pousser, débouler, croiser… qui indiquent une action au même titre que ce qui se joue dès lors que le moteur de la caméra tourne selon le registre des arts de la scène où les comédiens, et plus tard les acteurs, de même que les danseurs ensuite, affirment une présence qui se développe sous forme d’action segmentée et opérative pour l’intelligibilité du spectateur.Voulant exprimer cette action de la danse par le biais de la caméra, de manière à ce que les verbes de danse soient proches, voire identiques à ceux du médium vidéo – de fait, si le corps du danseur avait à tourner, la caméra aurait, elle aussi, esquissé un tour en suivant le mouvement de la danse –, cela demandait à sortir des limites du vocabulaire narratif et plastique du cinéma et de la vidéo, afin de s’étendre au vocabulaire chorégraphique en essayant de trouver un langage commun ou, du moins, équivalent. Ainsi, en me dirigeant vers une unité de la danse et de la vidéo, mon travail de recherche met en avant ce qui leur permet de s’unir sous la forme d’un seul médium artistique.

Voir le site internet de l'éditeur L'échappée belle

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